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Le Management

Pourquoi devrait-on attendre monts et merveilles des stages de management ?

La formation des managers a le vent en poupe !

Dans un monde en évolution constane, dans lequel les changements deviennent le quotidien, la mobilisation des équipes, le recours à l’intelligence collective sont des facteurs clés de performance. Partant, les managers apparaissent comme une cheville ouvrière majeure et incontournable (n’en déplaise aux tenants de l’entreprise dite libérée). S’ils ne sont pas, au quotidien, l’objet de beaucoup de soins, leur formation, elle, fait l’objet de beaucoup d’attentions !

La formation au management, remède miracle ?

Pourquoi tant de stages de management ? Parce que des progrès importants en qualité et quantité sont nécessaires, bien sûr !

Mais pourquoi tant de stages de management et si peu de bonnes pratiques ?

Peut-être bien parce ces formations poursuivent une chimère !

Pour quelles raisons, la formation n’y suffirait-elle pas ?

Lorsqu’il est question de management, tout est affaire de nuances.
Comme pour nombre de réalisations manuelles, la différence se joue dans le « tour de main », en matière de management, la réaction adaptée est affaire de « tour de ressenti ».

Le management est plus un art qu’une technique,

et son exercice conduit à vivre sur le fil d’un rasoir..

Il est toujours question de faire cohabiter les contraires en trouvant le juste équilibre. Par exemple : arbitrer mais seulement à bon escient et sans être autocrate, décider vite mais savoir écouter et en prendre le temps, évaluer pour donner confiance et mobiliser mais sans complaisance,

L’acquisition de telles compétences relève avant tout de la pratique et de la réflexion sur cette pratique.

Sans compter que si les « bonnes pratiques » peuvent être enseignées et faire de l’apprenant un homme ou une femme avertie, si elles peuvent même épargner bien des errements à l’apprenti manager, il faut tout de même se rendre à l’évidence : tout le monde peut apprendre à jouer de la musique, mais tout le monde ne sera pas Glenn Gould !

La même pratique peut avoir des effets diamétralement opposés selon le contexte.

Un exemple :

il est unanimement reconnu que le degré de mobilisation des collaborateurs est plus grand lorsque leur avis est sollicité et qu’ils participent à la réflexion précédant une décision.

Ce principe sera donc « enseigné » aux managers que l’on incitera à solliciter les avis de leurs collaborateurs.

Application pratique, face à un problème à résoudre :

  • Par le manager A : « Que proposez-vous pour… ? »
  • Par le manager B : « Comment pourrions-nous… »

Résultat des courses :

  • Le manager A aura immédiatement mis le collaborateur sur la défensive et provoqué la méfiance.
  • Quand le manager B aura incité à coopérer pour trouver de bonnes solutions au problème,

La forme et la tonalité de l’expression auront suffi à créer des situations contraires :

Faible estime de soi

 

Un collaborateur stressé pour le manager A (qui doutera beaucoup de la pertinence des conseils prodigués en formation)

Un collaborateur épanoui pour le manager B

Alors, comment s’y prendre ?

Vous pouvez avoir lu tous les livres sur le management publiés, avoir suivi quantité de stages de management et en avoir parfaitement retenu les principes à respecter. Vous n’aurez fait que le premier pas.

Les progrès en management nécessitent pratique et réflexion sur sa pratique, en bénéficiant autant que possible de regards bienveillants d’autrui (coach, collègue, collaborateur, responsable hiérarchique, mentor …). Toute perception / interprétation a son intérêt.

Autant dire qu’il s’agit d’une évolution personnelle, impliquante et… exigeante, d’une véritable et enrichissante aventure humaine,

et si l’aventure vous tente,

et que vous êtes manager opérationnel,

RV sur le site de DXEM ! Vous y trouverez une pédagogie novatrice et efficace et des regards bienveillants pour vous assister dans l’amélioration de vos pratiques managériales.

ou, si vous êtes CEO,

c’est Dan LOW qui vous viendra utilement en aide, notamment lors de ses séminaires « spécifiques CEOs ».

Son ouvrage, ( interdit en Chine), vous donnera déjà un avant-goût de son approche , pleine de bons sens, simple et terriblement efficace.

 

 

Un bienfait d’une double culture orientale et occidentale ?

Le recrutement en 7 questions et 3 « joker »

En 1985, dans la Harvard Business Review, Peter Drucker notait qu’en matière de recrutements, un tiers se soldaient par un échec, un tiers se révélaient médiocres et seulement un tiers étaient judicieux.  Trente ans plus tard , on estime que le taux d’échec des recrutements se situe entre 50 et 70 %.

Ce taux peut baisser à 30% si le recrutement est conduit avec méthode au cours des trois phases qui « devraient » jalonner tout recrutement : avant, pendant et après.

Et si répondre à quelques « bonnes » questions suffisait à remédier aux recrutements décevants ?

AVANT DE RECRUTER,

et au-delà de la définition de fonction, une question pour bien appréhender les besoins :

Question  : À quoi vous attendez-vous de la part du futur collaborateur en termes de : Compétences, Comportements, Aptitudes et potentiel …

Privilégiez, dans l’ordre des priorités, l’adéquation aux valeurs et à la culture de l’entreprise, puis intéressez-vous aux compétences comportementales (manière d’être et de se comporter), et validez la capacité à apprendre rapidement la technicité requise pour occuper le poste. Tentez également de cerner le potentiel du candidat.

PENDANT, LORS DE L’ENTRETIEN de recrutement

Pour estimer la bonne adéquation « candidat entreprise/job », six questions « ouvertes », centrées sur les réalisations et les comportements dans des situations concrètement rencontrées par le candidat (pas de « discours » !)


Question 1 : Que vous attendez-vous à trouver dans une organisation comme la nôtre ?

Question 2 : Qu’attendez-vous de votre travail ?

Question 4 : Pouvez-vous donner 2 ou 3 exemples précis de réalisations correspondant à ce que vous pourriez apporter dans le job pour lequel vous postulez.

Question 5 : Parlez- moi de 2 ou 3 de vos réalisations professionnelles de ces trois dernières années qui vous ont procuré beaucoup de plaisir.

Question 6 : Parlez-moi de 2 ou 3 exemples de tâches que vous n’aimez pas particulièrement accomplir, de responsabilités que vous préférez éviter de prendre ?

APRÈS : LORS DE L’INTÉGRATION dans l’entreprise

Pour ne pas décevoir et garder intacte la motivation du candidat:

Avant l’arrivée du nouveau recruté, les membres de l’équipe d’accueil sont informés de sa venue et de sa mission, la logistique est organisée (locaux, matériel, fournitures, agenda des Premiers jours…),

Dès le premier jour, le nouvel arrivant est accueilli par son responsable hiérarchique, présenté aux équipes; tous sont informés de ses place, rôle et mission au sein de l’équipe qui l’accueille.

 Lors de la période d’essai : un tuteur nommément désigné suit le nouveau recruté tout au long de la phase d’intégration. Des points d’étape sont prévus en cours de période d’essai – un entretien d’évaluation est programmé peu avant la fin de la période d’essai.

JOKER

« Joker 1 » : N’y a-t-il pas des collaborateurs pour lesquels le poste à pourvoir constituerait une opportunité ? 

« Joker 2 « : Opérer une répartition différente des tâches (voire en remettre en cause certaines) ne rendrait-il pas plus réactive ou plus efficace la chaîne des opérations ?

« Joker 3 »: La fonction à tenir contribue-t-elle à une finalité, source de réelle valeur ajoutée ? (laquelle ?)

Pour en savoir plus : Comment réussir un recrutement à tous les coups

Être heureux au travail ? Je rêve ! – (idée reçue n°5)

Précisons tout d’abord ce que j’entends par « être heureux »

Je ne parle pas ici du « plaisir », souvent intense, mais fugitif : celui qui, dès que les stimuli qui le procurent cessent, disparait.

Plaisir de posséder
Ou de celui qui nous vient du plaisir de posséder : le dernier iPhone, une belle voiture, voire même une… belle femme. Nous en rêvons et une fois que nous l’avons, le plaisir disparait.

Eprouver du plaisir ou être heureux ?

Je parle de celui qui vous vient « de l’intérieur », celui qui ne peut ni s’acheter ni se vendre. Celui auquel on aspire Celui qui se cache en nous et se cultive – c’est du boulot ! – et apparait quand on éprouve le sentiment de se réaliser soi-même dans l’action, de donner le meilleur de soi.

Ne pas confondre « AVOIR du plaisir » et « ÊTRE heureux ».

Le travail peut-il contribuer au sentiment de bien-être ?

Quelques constats :

Un travail ou un loisir ?

  1. Une même activité sera vécue comme un travail pour les uns et un loisir pour les autres.
  2. Certains développent une addiction au travail !
  3. Face à certaines épreuves de la vie, le travail peut se révéler une activité libératrice.
  4. Chez les chômeurs, la fréquence des suicides est plus élevée que chez l’ensemble des Français et les études indiquent que le chômage en est la raison.

En d’autres termes, le travail n’est pas une activité neutre et exercé dans des conditions « normales » :

  • Il est un facteur de construction de son identité sociale ; vous occupez une fonction reconnue et « cadastrée ». Essayez de vous présenter en ne donnant ni votre profession, ni votre fonction, ni votre secteur d’activité.
  • Il est le fondement du lien social et apporte de la reconnaissance sociale ; il se tisse des liens entre salariés.
  • Il permet de se révéler à soi-même et de se réaliser dès lors qu’il s’accompagne d’autonomie et a du sens aux yeux de celui qui l’exerce.Il peut même amener à connaître un état que  Mihaly Csikszentmihalyi appelle le « flow », ce « sentiment que l’on ressent lorsqu’on réalise quelque chose qui est parfaitement en harmonie avec nous-même ».

être heureux au travail !

Ce n’est pas le fait de travailler qu’il faut incriminer ; c’est le travail qu’il faut soigner !

Toutes les enquêtes le disent : la qualité de vie au travail repose sur trois piliers :

  • Un travail qui a du sens (se sentir utile, participer à une œuvre collective) et que l’on aime ;
  • Des  conditions de travail satisfaisantes (avoir les moyens et le temps de bien faire son travail  –  une vie professionnelle compatible avec sa vie personnelle) ;
  • Une ambiance positive (reconnaissance et bienveillance en sont les piliers) ;
  • Et, pour certains, la possibilité de développer de nouvelles compétences. Dans ce domaine les entreprises ne sont pas toujours en bonne santé et certaines le sont de moins en moins.

Il est toutefois possible d’espérer en une nouvelle génération d’entreprises dont Frédéric LALOUX rend compte dans son ouvrage «  Reinventing Organizations .

En attendant, notre pire ennemi est au-dedans

En attendant cette ère nouvelle, chacun peut exercer sa part de responsabilité, ne pas attendre pour commencer une deuxième vie, « le jour où il réalise qu’il en a juste une », et décider de prendre en mains sa vie.

6a017c35812c82970b01a3fd248fbc970b-800wiSur le comment ?

Aller faire un tour sur votre météo professionnelle :

Parce qu’elle est bien payée, une personne sera plus motivée. (idée reçue n°4)

Il est souvent admis que la motivation d’un salarié est fonction de son niveau de rémunération. Le lien est-il aussi direct ? Les choses ne sont-elles pas plus subtiles ?

Et si l’on se fiait à notre sens de l’observation ?

Pour ma part, que ce soit dans ma vie de manager et dans celle de consultante en management, je n’ai pas observé de corrélation entre niveau de rémunération et motivation :

–        J’ai observé que la motivation des personnes n’était pas liée à leur niveau de responsabilité : quel que soit le niveau de responsabilité, on trouve des personnes motivées et d’autres qui ne le sont pas ;

–        J’ai observé qu’à fonction équivalente et rémunération différente, ce n’était pas obligatoirement les personnes les mieux payées qui étaient les plus motivées ;

–        J’ai observé qu’à fonction et rémunération équivalentes, certaines personnes étaient motivées et d’autres ne l’étaient pas.

Quel lien entre rémunération et motivation ? Quel lien entre rémunération et motivation ?

Tout se passe comme si motivation et rémunération étaient indépendantes l’une de l’autre.

«Il faut tout voir ! »

Deux témoignages, recueillis à l’occasion de missions éclairent le phénomène.

–          Celui d’Aurélie, en charge de la propreté d’un centre de remise en forme, repris dans mon ouvrage « Et si on décidait d’être heureux, même au travail ? » : « J’ai besoin de mon salaire, mais 100 € en plus et derrière je trime ? Il faut tout voir. Non. Ici, je suis bien. »

–          Celui de Thomas, un informaticien, en charge du développement au sein d’un éditeur de logiciels de documentation, au plus fort de la guerre des talents informatiques : « Je sais, je pourrai gagner 30% de plus ailleurs, mais ici je peux être heureux durablement : j’ai un job qui me plaît, avec des enjeux significatifs, qui me permet de côtoyer des gens présentant de l’intérêt ; je peux avoir une vie familiale car, même s’il faut travailler beaucoup dans la semaine, j’ai des jours de RTT à lui consacrer. »

Autrement dit, la motivation trouve sa source dans de multiples facteurs.

Il est même probable que la rémunération joue plus comme un facteur de démotivation (si elle est nettement inférieure à celle du marché ou si elle est injuste, peu équitable) que comme un facteur de motivation.

La rémunération est une condition nécessaire (qu’elle soit dans le marché et équitable), mais non suffisante.

« On ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif »

la rémunération est une condition nécessaire, non suffisante

On ne motive pas durablement quelqu‘un à l’aide d’une augmentation ; ou alors il faut être prêt à renouveler très régulièrement l’augmentation. Pourquoi ? Parce qu’il s’agit d’une motivation « extrinsèque », qui provient de l’environnement : un bâton ou une carotte…

Que la sanction ou la récompense viennent à manquer et la motivation chute aussitôt.

La « vraie » motivation vient de l’intérieur,


La "vraie" motivation vient de l'intérieur

 de ce dont la personne a naturellement « envie » :

sa passion, ce qui lui procure de la satisfaction ou du plaisir

Alors ?

Une rémunération a minima dans le marché et, dans l’entreprise, équitable

et « cap toute » sur les facteurs de motivation intrinsèques

par voie de conséquence sur…. la qualité du management.

On travaille juste parce qu’il faut bien gagner sa vie. (idée reçue n°3)

Travailler pour vivre ? Travailler plus pour gagner plus, voire … moins ? Perdre sa vie à la gagner ? Le travail n’a pas obligatoirement bonne presse.

Et pourtant !

Tout le monde s’accorde pour considérer, à titre personnel, le chômage comme une épreuve et au niveau de la société l’objectif de baisse du taux de chômage fait consensus.

Les études ont d’ailleurs montré que le risque de suicide est multiplié par 2 à 3 chez les hommes chômeurs en comparaison à des non chômeurs.[1]

Théodore Zeldin[2], qualifie notre système « d’étrangeté hexagonale ! … Et d’abord vos 35 heures, qui marquent la fin du … XIXème  siècle. En ce temps-là, les ouvriers contraints à un travail pénible, sale et éreintant, cherchaient à réduire autant que possible le nombre d’heures passées à l’atelier ou en usine. Or les conditions ont changé… l’être humain veut désormais se réaliser dans son métier. »

On travaille juste pour gagner sa vie ?

Le travail «en santé » est bien plus qu’un gagne-pain

  • Certes, il donne les moyens, au travers du revenu qu’il procure, de pourvoir à ses besoins matériels,

Mais il a bien d’autres « fonctions » :

  • C’est un pivot autour duquel se construit notre identité.

Pour s’en convaincre, un mini-test : essayez de vous présenter en ne faisant état ni de votre métier, ni de votre fonction, ni de l’entreprise dans laquelle vous travaillez…

  • Il est un moyen d’acquérir sa dignité, celle de se savoir un vrai professionnel et de se voir reconnu socialement ;
  • Il est un vecteur d’intégration sociale, au-delà même de la structuration du temps qu’il induit ; GALLUP a identifié que le fait de compter des amis dans son entreprise est un des 12 facteurs clés du bien vivre son travail .

Seulement le système rend le travail malade

Les illustrations qui suivent sont de Gregory MARIA, tirées du Manifeste  » De quels leaders avons-nous besoin ? »

arrêtez de traquer les erreurs

Le malaise actuel nous vient plutôt de ce que l’homme au travail n’est plus considéré comme un sujet, mais comme un objet  au même titre que l’outil de travail.

arrêter de prescrire le "comment" sans expliquer le "pourquoi?"

L’homme est réduit à une machine, censée effectuer le travail prescrit, souvent contraint.

Alors que  l’homme ne se réalise que dans le travail autonome.

arrêtez de nous parler uniquement du court terme

L’homme est devenu une  « ressource »  (dont on a d’ailleurs confié la gestion à une  « Direction des Ressources Humaines » !), une variable d’ajustement dans le pire des cas, un investissement dans le meilleur.

Résultat :

L’entreprise n’est plus une communauté ; elle n’est plus qu’une « boîte », une structure juridique, un lieu où contractent des acteurs sociaux, une « machine à cashflow ».

Quand sa raison d’être « humaine » est de réunir des personnes pour créer un produit/un service qu’ils ne pourraient réaliser seuls : « Permettre à des gens ordinaires de réaliser des choses extraordinaires ».

Et les salariés en sont réduits à « aller au travail les pieds par en dedans », comme le disent nos amis canadiens…

C’est bien le système qu’il faut soigner, pas le travail !


[1] Impact of 2008 global economic crisis on suicide: time trend study in 54 countries Shu-Sen Chang, David Stuckler, Paul Yip, David Gunnell BMJ 2013;347:f5239

[2] Britannique, Historien, professeur de littérature française à Oxford,

Sans pression sur les résultats, pas de résultat ? (idée reçue n°1)

Dans le monde de l’entreprise « classique », la recherche du « travail bien fait »  a de plus en plus cédé la place à celle de la performance économique. A l’évidence le prix à payer en Qualité de Vie au Travail s’annonce très élevé. Est-ce que, pour autant, la performance économique s’en porte mieux ?

Auto-diagnostic

Pour vous, que se passe-t-il lorsque l’on « vous met la pression », sur les objectifs, sur les résultats, sur les délais, sur la qualité, en un mot sur les enjeux ?

Est-ce dans ces conditions que vous donnez le meilleur de vous-même ?

Moi, je déteste ! et je m’empresse de tourner les talons aussi vite que je le peux… J’aime bien aussi « copier » lorsque d’autres ont déjà fait le travail pour moi et que cela a réussi. Un relent de paresse congénitale, peut-être…

Les leçons du sport de haut niveau

A quoi veillent les coaches des sportifs de haut niveau à la veille d’une compétition ? à ce que les sportifs oublient l’enjeu pour se centrer sur leur jeu. Et de quoi parlent ces sportifs à l’issue de la compétition ? Pas tellement du score; bien plus de ce qu’ils avaient ou non les bons ressentis, du plaisir qu’ils ont eu à jouer lorsqu’ils avaient réussi à véritablement « être dans le jeu ».

Et alors, dans l’entreprise ?

Il en va de même !

Pression sur les résultats, « jeu à somme négative »

Faire pression sur les résultats, un jeu à somme négative

Mettez la pression sur vos collaborateurs,

vous générez du stress,

et, du même coup, une prestation de moindre qualité,

qui, à terme, impactera de manière négative vos résultats.

Vision qui porte, « jeu à somme positive »

Vision qui porte, jeu à somme positive

à l’inverse, mobilisez à partir d’une vision partagée, qui « donne envie »,

Faites confiance, (ce qui n’exclut ni contrôle, ni aide),

et vous obtiendrez le meilleur de vos collaborateurs,

ce qui servira l’atteinte de vos objectifs.

Remettre les choses « dans le bon ordre » !

Les résultats économiques ne sont qu’une conséquence.

La cause racine est, sans nul doute, dans la qualité du management.

Employees first !